Lorsque le pinceau rencontre le sécateur,
l’encre et la fleur,
l’assise et le mouvement,
la couleur et les valeurs…
Suspendez le temps et entrez pleinement dans l’expérience des arts contemplatifs zens avec Mauro De Giorgi et moi-même
Pourquoi ce duo Ikebana et Sumi-ē ?
De notre expérience commune dans les arts contemplatifs d’Asie et notre joie à les transmettre, est né ce stage singulier permettant de vous faire vivre, les effets d’une immersion dans les pratiques de méditation en action zens.
Nous avons conçu cette journée d’enseignements, autant techniques que philosophiques, en alliant un atelier d’Ikebana, l’art floral japonais, avec un atelier de Sumi-ē, prenant pour modèle les végétaux de votre composition.
Afin de nous aider à nous immerger aisément dans le cœur de ces deux pratiques d’art contemplatif zens, en tant qu’instructrice de méditation bouddhiste, j’offre aux participants une séance de méditation et quelques explications sur la vision de la méditation en action.
Déroulement type de nos journées « ikebana et sumi-e » :
Première partie :
Ikebana, art de la composition florale japonais
avec Véronique Villemagne
L’ikebana 生け花, littéralement « les fleurs vivantes ». Art sacré d’origine chinoise, importé depuis plus de six siècles au Japon où il s’est raffiné puis développé en différentes écoles.
Durant cette matinée, vous serez guidés pas à pas pour agencer les végétaux selon les principes esthétiques de base de l’école Kadō-Ikebana de Maître Marcia Wang Shibata*. Cette école associe les fondements authentiques de l’art floral taoïste et son symbolisme traditionnel japonais avec la créativité contemporaine.
Les compositions évoquent l’impermanence et la beauté de l’imperfection naturelle, ainsi que votre voyage intérieur à la rencontre de vous-même.
La philosophie de cet art peut être résumée en deux phrases : « Une seule fleur dit plus qu’un vase rempli de fleurs » et « l’ikebana n’est pas dans ce que vous ajoutez dans la composition, mais ce que vous en retirez ».
Ce qui est assez proche de la vision sobre du sumi-ē, si ce n’est qu’une fois l’encre déposée sur le papier vous ne pouvez pas la retirer. De même en Ikebana, une fleur, une branche coupée ne peut être recollée.
C’est dans ces mises en parallèles entre nos deux arts contemplatifs que nous prenons conscience de leur complémentarité dans l’approfondissement philosophique de ces pratiques.
Deuxième partie :
Sumi-ē, art de la peinture à l’encre japonais
avec Maître Mauro De Giorgi**
Le sumi-ē est une technique de peinture à l’encre japonaise caractérisée par le minimalisme des touches du pinceau et l’appréciation de l’espace blanc du papier.
« Pour avoir vu l’artiste italien manier ses pinceaux, mélanger et diluer méthodiquement ses encres, se concentrer et imprimer d’un geste sûr et spontané le sujet étudié, sans dessin préalable, on est sous le charme, impressionné. »
(Petra Wauters, journaliste et auteur de livres sur l’aquarelle)
« Pour avoir vu l’artiste italien manier ses pinceaux, mélanger et diluer méthodiquement ses encres, se concentrer et imprimer d’un geste sûr et spontané le sujet étudié, sans dessin préalable, on est sous le charme, impressionné. »
(Petra Wauters, journaliste et auteur de livres sur l’aquarelle)
D’après nos participant.e.s : « c’est un stage qui change à jamais notre regard et notre manière de voir le monde ! »
Informations pratiques :
Horaires courants :
Arrivée des participants à 9h30.
Atelier d’ikebana de 10h à 13h.
Pause déjeuner de 13h à 14h.
Atelier sumi-ē de 14h à 16h.
Arrivée des participants à 9h30.
Atelier d’ikebana de 10h à 13h.
Pause déjeuner de 13h à 14h.
Atelier sumi-ē de 14h à 16h.
Pause thé et cercle d’échange de 16h à 17h.
Rangement de 17h à 17h45.
Tarif : 140€ par participant.
(Tarif réduit sous conditions.)
Ce prix inclus : le matériel et les frais des deux intervenants.
(Tarif réduit sous conditions.)
Ce prix inclus : le matériel et les frais des deux intervenants.
||| À l’issu de l’atelier vous emporterez vos œuvres florales et picturales. |||
* Marcia Wang Shibata fondatrice de l’école Kadō-Ikebana est d’origine chinoise, veuve de Kanjuro Shibata Sensei XX, facteur d’arc de l’empereur du Japon. Tous deux furent des disciples et amis très proches du maître Tibétain Chögyam Trungpa Rinpoché, les amenant à retrouver l’essence et l’authenticité de leurs enseignements respectifs : le Kadō, la voie des fleurs et le Kyudō, la voie de l’arc.
Véronique Villemagne a été formée comme instructrice dans ces trois écoles depuis une quinzaine d’années.
Véronique Villemagne a été formée comme instructrice dans ces trois écoles depuis une quinzaine d’années.
** Mauro De Giorgi est un artiste peintre contemporain qui a travaillé en Italie, en Angleterre, au Japon et à Singapour. Ses œuvres ont fait l’objet de plusieurs expositions nationales et internationales (Italie, France, Angleterre, Japon, Australie, Singapour). Mauro dirigea sa propre agence de communication pendant 10 ans.
C’est au cours d’un séjour de deux ans au Japon que De Giorgi a découvert et éprouvé « un coup de foudre » pour le sumi-ē. Il étudia la technique de la peinture à encre auprès du maître japonais Shukou Tsuchiya, à Tokyo.
C’est au cours d’un séjour de deux ans au Japon que De Giorgi a découvert et éprouvé « un coup de foudre » pour le sumi-ē. Il étudia la technique de la peinture à encre auprès du maître japonais Shukou Tsuchiya, à Tokyo.